Le paternelle

Je suis en pleine réflexion ces temps-ci, je crois que ce n'est un secret pour personnes, car je fais l'étalage des ces réflexions ici même sur ce blogue. Ce que je trouve merveilleux dans l'univer des blogues, c'est que tout le monde peut participer à ma reflexion. De cette façon, Isa a paticipé à préciser cette reflexion (Merci !) mais le commentaire du paternelle m'a jeté à terre. Je le reproduit ici:

Malgré tout la fuite par en avant ça demeure toujours vers l'avant et ce qui te tue c'est le sur place, c'est l'inercie. Bien évident que chacun à son niveau de sécurité fonctionnel, celui au delà duquel tout "jam", mais la recherche de confort ou d'un plus grand niveau de sécurité s'est toujours avéré synonyme de stagnation. Ce n'est quand te mettant en danger face à l'inconnu que tu puiseras dans les ressources que tu as accumulé inconciemment jusqu'à aujourd'hui.



C'est face à l'épreuve que l'on peu prendre sa vrai mesure. Ce sera une source insoupçonné de confiance en soi que tu découvriras. Car si tu en doute je me permets de te dire que j'ai une grande confiance en tes possibilités. Tu as tout ce qu'il faut à toi de le découvrir.



En passant si le temps à occuper avant ton départ est trop grand c'est possible que tu t'emmerde. Prépare tes trucs au plus vite puis fout le camps [...]



Excuse l'expression, mais décrisse au plus vite.

Suite à ce commentaire, je suis sans voix. Tu n'est pas le paternel pour rien, tu lis en moi comme si j'était toi. Plus le temps avance, plus j'arrive à ces conclusions et tu les confirme. Cela me donne vraiment le goût de partir.



Merci pour ce commentaire, Merci pour ta confiance, Merci Papa!